Dans cet article je ne vais pas vous parler de la danseuse russe Anna Pavlova, enfin si un peu, mais surtout du dessert qu’elle a inspiré, je suis en effet beaucoup plus dessert que ballet…
J’ai connu ce dessert lorsque que je vivais à Sydney, impossible de passer à côté car c’est LE dessert australien par excellence, enfin c’est ce que l’Australie revendique car la réalité est un peu plus controversée.
Origine de la Pavlova
La Nouvelle-Zélande et l’Australie se disputent depuis près d’un siècle la paternité de ce dessert.
La Nouvelle-Zélande fait état d’un chef pâtissier, qui, en 1926, tombé éperdument amoureux de la ballerine russe Anna Pavlova alors qu’elle se produisait sur les scènes des mers du sud, aurait créé un dessert à sa gloire. L’Australie, elle, affirme que c’est un chef de la côte ouest australienne qui a mis au point la recette en 1934.
Ce dont on peut être sûr c’est qu’Anna Pavlova, danseuse étoile russe (considérée comme la meilleure danseuse classique par certains) est bien l’inspiratrice de ce dessert qui célèbre la grâce et la légèreté de la ballerine. « Elle ne dansait pas elle s’envolait », disait-on.

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Un dessert voluptueux
Pas une table de Noël australienne sur laquelle ne trônerait pas fièrement une voluptueuse Pavlova, cette meringue croustillante à l’extérieur et moelleuse à l’intérieur, nappée d’une épaisse couche de chantilly et recouverte de fruits (le plus souvent des fruits rouges, mais les variantes sont acceptées).
Moi j’avais pour habitude d’y ajouter le coulis des fruits de la passion qui se marie divinement bien avec les fruits rouges et la meringue.
